L’ennemi de la France et de l’Europe, ce n’est pas la gauche, la droite, l’extrême-gauche ou l’extrême-droite !…
L’ennemi c’est l’idéologie du centralisme jacobin qui déracine les peuples de France et du monde maintenant pour les broyés, manipulables et corvéables à merci dans le même moule !
C’est pourquoi je suis un militant autonome, autonomiste, fédéraliste depuis 50 ans !…
Dans l’amour de la France, pour sa Renaissance grâce à une République Fédérale Française, exemplaire pour l’Europe, en faveur du ré enracinement de ses peuples.
À ceux qui s’étonnent de me voir rencontrer des hommes du monde politique et artistique opposés et adversaires idéologiques, de l’extrême gauche à l’extrême droite dans la société française, et de ne pas être assez sectaire je répondrai, en français pour les « Bretons »… que le meilleur moyen d’être quoi que ce soit , c’est de le pratiquer. Le meilleur moyen d’être fédéraliste c’est de pratiquer soi-même le fédéralisme dans sa vie et dans la société française centraliste, dualiste, manichéenne, dont fait partie la Bretagne. En se changeant soi-même ont peut changer une petite partie de la société dans laquelle nous sommes, puisqu’on est dedans, et proposer autre chose !…
Rencontrer, fréquenter les différences, les opposés, est une bonne attitude de fédéraliste non pas « centraliste », mais « centriste » comme je le suis moi-même et comme nous le sommes tous à Kêrvreizh crée en 1938 par le fédéraliste Yann Fouéré !… C’est la base politique » brezhon », « emsavel » de « Breizh » depuis deux siècles, et non pas de « Bretagne », société francisée, contaminée par le dualisme jacobin. Le fédéralisme « brezhon » c’est l’un ET l’autre et non pas l’un OU l’autre des Bretons, ces Français malades, hémiplégiques déracinés, décentrés d’eux-mêmes, donc « désaxés », hypertrophiés du cerveau gauche ou du cerveau droit !…
La véritable Métaphysique celtique, européenne, comporte une multitude de points de vue. Ils rendent compte de tous les aspects sous lesquels on peut envisager la Vérité. Elle ne saurait donc être contenue dans les limites d’un « système » du « Prêt à penser » d’un gouvernement unique à pensée unique, dans une langue unique, une culture unique pour un pouvoir unique de la dictature du « politiquement correct », sans » dérapages » hérétiques, héritée du monothéisme chrétien à vérité unique !…. C’est toujours le mystère d’une polarité qui constitue à la fois une bi-unité et une alternance rythmique.
Elle se laisse déchiffrer dans les différentes illustrations mythologiques, religieuses et philosophiques. Certaines de ces polarités tendent à s’annuler , comme dit Mircéa Eliade dans une “coincidentia oppositorum” http://fr.wikipedia.org/wiki/Mircea_Eliade . C’est-à-dire dans une UNITÉ-TOTALITÉ-PARADOXALE”. C’est notre tradition pré-chrétienne polythéiste, non dualiste conservée dans le catholicisme romain traditionnel.. Ce sont ces situations existentielles paradoxales (comme la simultané du jour et de la nuit, du visible et de l’invisible, du bien et du mal etc…) que la logique rationnelle jacobine française et occidentale en général, héritée du judéo-christianisme, a du mal à vivre.
Elle a donc préféré les considérer comme des oppositions irréductibles. Le choix de la raison comme unique voie de connaissance, a éloigné l‘homme européen du paradoxe présocratique. L’incapacité de vivre des situations existentielles fédéralistes paradoxales a été engendrée par la perte de la vision indo-européenne traditionnelle. C’est ce qui lui a fait rechercher des idéologies rassurantes, uniformisantes où il est assisté, rassuré et protégé. Ceci au détriment de sa combativité individuelle, et de sa capacité à résister à la souffrance.
C’est pourquoi l’excès de raison a rendu sa nature européenne fragile et a fait naître l’idéologie bourgeoise dans l’ actuel État providence centraliste qui a détruit la France. Le résultat est là …. Transcender les polarités, c’est s’installer au coeur des couples de contraires. Ce qui implique de ne pas séparer l’un de l’autre, ni de choisir définitivement l’un OU l’autre. C’est la “recherche du centre fédérateur”. du FÉDÉRALISME, au dessus du ‘Droite-Gauche », du nationalisme ou du socialisme.
La conscience est alors libre de se placer dans un “tiers-inclus”, au sein de I’”unité-totalité-paradoxale” du peuple global. Il s’agit donc, grâce à la « Coincidentia oppositorum », de voir la vie toujours de l’intérieur, du centre de soi-même et non pas de sont pied gauche ou de son pied droit… En effet, pour la vision traditionnelle, la conscience ne se situe pas dehors, à l’extérieur de soi-même et des choses, À GAUCHE OU À DROITE, comme en France aujourd’hui, mais au dedans de nous et des choses. Nos égarements ne font que signaler notre “excentricité” de “désaxé”…
C’est-à-dire notre perte du centre, de notre centre. Cette quête du centre est généralement appelée « voie ésotérique » ou “voie du dedans” par la tradition indo-européenne qui est la notre… Ainsi, souvent, les militants bretonnants francisés reproduisent l’idéologie française « gauche-droite »… Ils restent des « Bretons’ c’est-à-dire des Français comme les autres , bien que connaissant souvent le « brezhoneg » en plus du français!!!… Être « Brezhon », « Emsaver » de « Breizh » et non plus « Breton » de « Bretagne » est, avant tout, en plus de la formation en « brezhoneg », un changement de soi-même, une attitude philosophique européenne nouvelle, concrète, pratique, et non pas simplement idéologique française.
Yann-Ber Tillenon
*******************************************************************************************************
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Onténiente
Mon oncle Guy est resté très ami avec Georges, liés qu’ils étaient tous deux au 14e, ma grand-mère habitant alors au numéro 19 de la rue Mouton-Duvernet. Dans les années 50, ils buvaient le coup à côté de la maison familiale et m’emmenaient parfois au bistro du coin de la rue Boulard, quand j’étais en visite dans le quartier…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Yvan_Blot
Ce grand Patriote était un régionaliste français et un fédéraliste européen. D’origine polonaise et bretonne, au service de l’Alsace, cet énarque fut un grand fonctionnaire, serviteur de la France réelle. C’est pourquoi il chercha à maintes reprises, mais en vain, à convaincre de ses idées le Président Jacques Chirac lorsqu’il était son conseiller. C’est toujours avec joie que nous le recevions lorsqu’il passait nous voir à Kêrvreizh.
Kenavo Yvan Blot ! Ra vezo puilh war da benn Glav Glan a zo boas hon Doueoù da skignañ war ar re, gwenn o Bed, o deus dibabet evit adsevel Europa !
Bale, kendalc’h gant da Hent !
Pour avoir connu la personnalité réservée et timide de l’homme en privé, je salue ici l’Artiste rayonnant qu’il était sur scène, Fauve rugissant sur son territoire : c’est là qu’il était Lui-même, déchaîné, c’est-à-dire libéré de toute prison intérieure, déployant à pleine puissance la vocation de son Etre !
États-Régions
Contre :
La fausse Europe, division des masses déracinées, aliénées, en
États-Nations.
Pour en finir avec les États-nations et pour la création des États-régions fédérés au sein de la grande Europe !
KÊRVREIZH en délégation à Barcelone pour soutenir les artisans de l’État de Catalogne. Ils ne sont plus espagnols, mais Catalans et Européens !
Manifestation anti-capitaliste, Paris, Nathalie ARTHAUD, Arlette LAGUILLER, Yann-Ber TILLENON
Kevreadelour, en diskelladeg, gant « Arlette », amezegez ha mignonez trotskour va c’heneil kelenner yezhelour broadelour brezhon Goulven PENNAOD e kêr « Les Lilas », gwezhall gozh…
Fédéraliste, dans la manifestation, avec « Arlette », voisine et amie trotskiste de mon vieux prof’ linguiste nationaliste breton, Goulven PENNAOD, dans la ville des Lilas autrefois…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Arlette_Laguiller
FÉDÉRER LES CONTRAIRES
L’union ne peut exister qu’en étant « fédéraliste », dans notre ÉTAT nouveau, celui de la renaissance : notre ÉTAT est donc à fonction PHILOSOPHIQUE, spirituelle.
Notre État et son Parlement doivent « fédérer », au service d’une nouvelle SOCIÉTÉ TRADITIONNELLE, celtique, au 21e siècle, siècle de la postmodernité. Ils doivent unir les forces dispersées et opposées dans la société par l’ÉTAT ancien. Celui-ci est justement décadent, parce qu’il est à fonction uniquement ÉCONOMIQUE, dans la SOCIÉTÉ INDUSTRIELLE, née au 19e siècle.
Emmanuel MACRON, peint par Yann-Ber TILLENON
C’est pourquoi tout ÉTAT traditionnel est fédéraliste. Ainsi est fédéraliste, fédérateur, le nouvel État « brezhon » renaissant, incarné dans l’ « Emsav » brezhon depuis deux siècles.
C’est pourquoi il est l’ennemi du « mouvement breton » au service de l’État français décadent .
Il faut y aller sur le terrain !… L’Emsaver doit être partout, au combat idéologique. Oui, moi, j’ai pris le risque de me faire casser la gueule en faisant un discours anti-raciste dans un congrès racialiste !… Qui l’eut fait à ma place ?…
FÉDÉRALISME
L’ennemi de la France et de l’Europe, ce n’est pas la gauche, la droite l’extrême-gauche ou l’extrême-droite !… L’ennemi c’est l’idéologie du centralisme jacobin qui déracine les peuples de France et du monde maintenant pour les broyer, manipulables et corvéables à merci dans le même moule ! C’est pourquoi je suis un militant autonome, autonomiste, fédéraliste depuis 50 ans !…
Dans l’amour de la France, pour sa Renaissance grâce à une République Fédérale Française, exemplaire pour l’Europe, en faveur du ré enracinement de ses peuples. À ceux qui s’étonnent de me voir rencontrer des hommes du monde politique et artistique opposés et adversaires idéologiques, de l’extrême gauche à l’extrême droite dans la société française, et de ne pas être assez sectaire je répondrai, en français pour les « Bretons »… que le meilleur moyen d’être quoi que ce soit , c’est de le pratiquer. Le meilleur moyen d’être fédéraliste c’est de pratiquer soi-même le fédéralisme dans sa vie et dans la société française centraliste, dualiste, manichéenne, dont fait partie la Bretagne.
En se changeant soi-même ont peut changer une petite partie de la société dans laquelle nous sommes, puisqu’on est dedans, et proposer autre chose !…
Rencontrer, fréquenter les différences, les opposés, est une bonne attitude de fédéraliste non pas « centraliste », mais « centriste » comme je le suis moi-même et comme nous le sommes tous à Kêrvreizh crée en 1938 par le fédéraliste Yann Fouéré !… C’est la base politique » brezhon », « emsavel » de « Breizh » depuis deux siècles, et non pas de « Bretagne », société francisée, contaminée par le dualisme jacobin. Le fédéralisme « brezhon » c’est l’un ET l’autre et non pas l’un OU l’autre des Bretons, ces Français malades, hémiplégiques déracinés, décentrés d’eux-mêmes, donc « désaxés », hypertrophiés du cerveau gauche ou du cerveau droit !…
La véritable Métaphysique celtique, européenne, comporte une multitude de points de vue. Ils rendent compte de tous les aspects sous lesquels on peut envisager la Vérité. Elle ne saurait donc être contenue dans les limites d’un « système » du « Prêt à penser » d’un gouvernement unique à pensée unique, dans une langue unique, une culture unique pour un pouvoir unique de la dictature du « politiquement correct », sans » dérapages » hérétiques, héritée du monothéisme chrétien à vérité unique !…. C’est toujours le mystère d’une polarité qui constitue à la fois une bi-unité et une alternance rythmique.
Elle se laisse déchiffrer dans les différentes illustrations mythologiques, religieuses et philosophiques. Certaines de ces polarités tendent à s’annuler , comme dit Mircéa Eliade dans une “coincidentia oppositorum” http://fr.wikipedia.org/wiki/Mircea_Eliade . C’est-à-dire dans une UNITÉ-TOTALITÉ-PARADOXALE”. C’est notre tradition pré-chrétienne polythéiste, non dualiste conservée dans le catholicisme romain traditionnel.. Ce sont ces situations existentielles paradoxales (comme la simultané du jour et de la nuit, du visible et de l’invisible, du bien et du mal etc…) que la logique rationnelle jacobine française et occidentale en général, héritée du judéo-christianisme, a du mal à vivre.
Elle a donc préféré les considérer comme des oppositions irréductibles. Le choix de la raison comme unique voie de connaissance, a éloigné l‘homme européen du paradoxe présocratique. L’incapacité de vivre des situations existentielles fédéralistes paradoxales a été engendrée par la perte de la vision indo-européenne traditionnelle. C’est ce qui lui a fait rechercher des idéologies rassurantes, uniformisantes où il est assisté, rassuré et protégé. Ceci au détriment de sa combativité individuelle, et de sa capacité à résister à la souffrance.
C’est pourquoi l’excès de raison a rendu sa nature européenne fragile et a fait naître l’idéologie bourgeoise dans l’ actuel État providence centraliste qui a détruit la France. Le résultat est là …. Transcender les polarités, c’est s’installer au coeur des couples de contraires. Ce qui implique de ne pas séparer l’un de l’autre, ni de choisir définitivement l’un OU l’autre. C’est la “recherche du centre fédérateur”. du FÉDÉRALISME, au dessus du ‘Droite-Gauche », du nationalisme ou du socialisme.
La conscience est alors libre de se placer dans un “tiers-inclus”, au sein de I’”unité-totalité-paradoxale” du peuple global. Il s’agit donc, grâce à la « Coincidentia oppositorum », de voir la vie toujours de l’intérieur, du centre de soi-même et non pas de sont pied gauche ou de son pied droit… En effet, pour la vision traditionnelle, la conscience ne se situe pas dehors, à l’extérieur de soi-même et des choses, À GAUCHE OU À DROITE, comme en France aujourd’hui, mais au dedans de nous et des choses. Nos égarements ne font que signaler notre “excentricité” de “désaxé”…
C’est-à-dire notre perte du centre, de notre centre. Cette quête du centre est généralement appelée « voie ésotérique » ou “voie du dedans” par la tradition indo-européenne qui est la notre… Ainsi, souvent, les militants bretonnants francisés reproduisent l’idéologie française « gauche-droite »… Ils restent des « Bretons’ c’est-à-dire des Français comme les autres , bien que connaissant souvent le « brezhoneg » en plus du français!!!… Être « Brezhon », « Emsaver » de « Breizh » et non plus « Breton » de « Bretagne » est, avant tout, en plus de la formation en « brezhoneg », un changement de soi-même, une attitude philosophique européenne nouvelle, concrète, pratique, et non pas simplement idéologique française.